L’office du tourisme de l’Estartit reçoit plus de demandes qu’avant la pandémie avec une augmentation de du 7% par rapport à 2019 et de 25% par rapport à l’année dernière.
Entre Pâques et septembre, mois considérés comme la saison estivale au niveau statistique, il y a eu plus de 29.300 demandes d’information et une reprise du tourisme étranger très touchées par des restrictions de mobilité pour la Covid19.
Par rapport à l’année dernière, on observe une reprise du tourisme étranger avec des nationalités qui doublent et triplent le nombre de demandes reçues à l’office du tourisme. C’est le cas du touriste italien qui a fait 237 demandes, 302% de plus que l’année précédente ; du touriste scandinave avec 134 demandes, 227 % de plus que l’an dernier ; et du touriste des pays d’Europe de l’Est avec 134 demandes, 227 % de plus.
Les Allemands, les Néerlandais et les Belges sont également revenus à l’Estartit avec respectivement 914, 1292 et 729 demandes ; 46%, 56% et 42% de plus qu’en 2021.
Le public catalan et français, piliers de la destination
Le touriste français est le principale de la destination Torroella-Estartit-Illes mèdes et est celui qui a fait le plus de demandes à l’Office du tourisme de l’Estartit avec 11 201, 88% de plus qu’en 2021.
Si l’on compare avec les chiffres prepandemie les marchés catalan et espagnol sont consolidés à l’Estartit avec 8.618 i 4.289 demandes d’information, 13 et 38% de plus qu’en 2019 respectivement.
Le public britannique ressent le double conditionnement de la pandémie et du Brexit en venant à l’Estartit et baisse un 38% par rapport à 2019, mais, d’autre part, a augmenté de 266% par rapport à 2021 marquant également la voie vers la reprise de ce marché.
Augmentation des demandes à Torroella
Au point d’information touristique de Torroella de Montgrí, cette reprise du pouls touristique pré-pandémique a été encore plus remarquée avec 5 771 demandes, 4 306 de plus qu’en 2019 et 2 307 de plus que l’année dernière.
La conseillère de tourisme de la Mairie de Torroella de Montgrí, Dúnia Oliveras, est satisfaite avec les niveaux de tourisme et indique que le défi principal est de dépasser ces niveaux et les désaisonnaliser.
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